Nous avons pris note d’un article intitulé Liberté académique sous pression en Belgique : le long bras de Pékin écrit par un universitaire du centre de recherche EASt de l’ULB, publié par Le Soir le 3 octobre dernier. L’auteur accuse dans son article l’ambassade de Chine en Belgique et les associations d’étudiants chinois d’« interférer dans la liberté académique » en Belgique, d’« empêcher des activités relatives à la Chine sur les campus » et de « séduire et d’intimider les universitaires ». Ces allégations sensationnelles sont totalement infondées et relèvent de la pure affabulation. L’auteur est un universitaire qui étudie la Chine, il est donc de toute évidence normal qu’il ait eu des échanges avec la partie chinoise. Mais ces échanges normaux sont imaginés et déformés par l’auteur pour devenir une manière déguisée de « séduire et d’intimider ». Est-ce un raisonnement normal ?

Pour un universitaire, faire preuve d’objectivité et de raison dans les recherches académiques est la condition pour tirer des conclusions pouvant résister à l’épreuve de l’Histoire. Tous les chercheurs qui connaissent la Chine savent que le développement de la Chine est l’aboutissement logique de l’Histoire et le résultat du choix du peuple. Voir la Chine à travers le prisme des préjugés et la stigmatiser systématiquement n’est pas faire des recherches académiques.

Notre monde est à mille facettes, il est normal qu’il y existe des idées différentes. Mais depuis un certain temps, il y a toujours des personnes aux desseins inavouables qui considèrent que stigmatiser la Chine est le « politiquement correct » et qu’il est à la mode d’accuser gratuitement la Chine. Après que leurs mensonges se sont fracassés un par un sur la réalité, ils n’ont pas d’autre solution que d’en inventer davantage pour poursuivre leur supercherie.

La Chine est membre important de la communauté internationale. Beaucoup s’intéressent à la Chine et souhaitent connaître davantage sur la Chine. Mais sans une vision objective et impartiale, sans le respect du choix indépendant du peuple chinois, il ne sera pas possible de connaître ni de comprendre vraiment la Chine. Quand la Chine est comprise telle qu’elle est, le monde sera meilleur.