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Déclaration du porte-parole de l'Ambassade de Chine en Belgique au sujet des informations infondées sur le Xinjiang
2020-12-12 18:25

Nous avons pris note d'un article intitulé Pendant que les Européens s'émeuvent de la répression contre les Ouïghours, les États-Unis prennent eux des sanctions, récemment publié par un média belge sur son site Internet. Cet article, en citant les soi-disant « preuves » concoctées par Human Rights Watch, organisation non gouvernementale américaine anti-chinoise, prétende calomnieusement que les mesures prises par la Région autonome du Xinjiang pour renforcer la gouvernance sociale sont une surveillance renforcée et des arrestations arbitraires visant les minorités ethniques telles que les Ouïghours. Ce n'est pas la première fois que ce genre de fausses informations apparaissent. Il s'agit purement d'une diffamation malveillante, dont l'objectif est de chercher des excuses pour saper la prospérité et la stabilité du Xinjiang et s'ingérer dans les affaires intérieures de la Chine. Nous nous y opposons fermement. Pour assurer une bonne compréhension des faits, l'Ambassade de Chine tient à clarifier la vérité.

Face à la grave menace du terrorisme et de l'extrémisme, la Région autonome ouïghoure du Xinjiang a pris des mesures de lutte contre le terrorisme et de déradicalisation en vertu de la loi, entre autres l'installation de caméras dans certains lieux publics conformément à la loi. Ces pratiques ont pour objectif d'améliorer le niveau de gouvernance sociale et de prévenir et combattre efficacement la criminalité. Elles sont courantes dans la communauté internationale et ne ciblent aucun groupe ethnique en particulier. Les mesures pertinentes au Xinjiang ont renforcé le sentiment de sécurité sociale de la population locale et freiné de manière efficace la prolifération des activités terroristes. Le Xinjiang n'a connu aucun incident terroriste violent depuis près de quatre années consécutives et sont bien protégés les droits et intérêts légitimes de tous les groupes ethniques au Xinjiang. Ces mesures bénéficient ainsi de large soutien de la population aux différents groupes ethniques.

Parlant de « surveillance », l'administration américaine a exigé en 2017 que les 20 premiers aéroports des États-Unis scannent les visages des passagers pour les identifier. Le Bureau de reconnaissance faciale du FBI,sans autorisation légale, peut effectuer à sa guise des recherches dans une base de données contenant plus de 640 millions de photos. Pourquoi l'utilisation des équipements de surveillance et des bases de données aux États-Unis est-elle juste, raisonnable et nécessaire pour protéger les droits de l'homme, alors que celle de la Chine est injuste, déraisonnable et discriminatoire qui constitue une violation des droits de l'homme ? N'est-ce pas un flagrant « deux poids, deux mesures » ? Les soi-disant « camps de rééducation » et « travail forcé » sont encore plus infondés, le porte-parole de l'Ambassade de Chine l'a déjà réfuté à plusieurs reprises. Nous exhortons à nouveau le média concerné à se garder des préjugés idéologiques contre la Chine et à faire des reportages sur la Chine de manière objective et impartiale.


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