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Déclaration du porte-parole de l'Ambassade de Chine en Belgique au sujet des informations infondées rapportées par La Libre sur le Xinjiang
2020-08-23 17:40

Nous avons pris note d'un reportage publié par La Libre le 22 août, diffusant de fausses informations sur le Xinjiang en parlant des « entreprises impliquées dans du travail forcé à l'encontre des Ouïghours », nous y exprimons notre ferme opposition. L'Ambassade de Chine a déjà fait, à maintes reprises, des déclarations au sujet des informations de dénigrement sur le Xinjiang rapportées par certains médias. Par la présente, nous tenons à clarifier une nouvelle fois les faits pour rétablir la vérité.

Le Australian Strategic Policy Institute (ASPI), dont le vrai visage a été dévoilé à plusieurs reprises, est une organisation financée par les États-Unis qui s'acharne à fabriquer et médiatiser des diffamations malveillantes contre la Chine. Sur les questions liées à Xinjiang, l'ASPI a fait du tapage d'abords autour des prétendus « camps de rééducation », puis du « travail forcé » qu'il a inventé lui-même. En concoctant toutes sortes d'allégations fallacieuses, cet institut cherche à attaquer gratuitement la politique de la Chine sur le Xinjiang, s'ingérant grossièrement dans les affaires intérieures de la Chine. Cet institut est déjà devenu un outil manipulé par certaines personnes pour des attaques et dénigrements malveillants contre la Chine, ses « rapports » sur le Xinjiang sont ainsi dépourvus de toute crédibilité intellectuelle.

La question du soi-disant « travail forcé » est purement fabriquée de toute pièce. Les populations des différents groupes ethniques de la Chine, y compris les Ouïghours au Xinjiang, sont protégées par les lois chinoises dans leur travail dans différentes régions de la Chine. Tous les contrats de travails sont en conformité avec la « loi sur le travail », la « loi sur le contrat de travail » et les autres lois et règlements administratifs et fondés sur les principes d'égalité, de volontariat et de consensus, qui précisent les droits et intérêts des travailleurs en terme de contenu du travail, conditions de travail, durée du temps de travail, rémunération, assurance sociale, congés, vacances et autres, des relations de travail protégées par la loi sont ainsi établies. Sur la base du plein respect des souhaits et des besoins en matière d'emploi de la population de tous les groupes ethniques, le gouvernement de la région autonome ouïghoure du Xinjiang a activement mise en place des mesures telles que le travail de proximité, le travail interrégional au Xinjiang et le transfert d'emploi vers les provinces et les villes de soutien ciblé au Xinjiang pour aider les minorités ethniques dans des régions défavorisées à trouver de l'emploi. Selon les statistiques, depuis 2018, le Xinjiang a transféré un total de 151 000 de main-d'œuvre excédentaire provenant de familles pauvres du sud du Xinjiang, avec un revenu moyen annuel par habitant de plus de 45 000 RMB, beaucoup plus élevé que celui des habitants travaillant dans l'agriculture dans le sud du Xinjiang, et tous ont été sortis de la pauvreté. Le prétendu rapport intitulé « Uyghurs for sale » de l'ASPI,rempli des histoires montées de toute pièce, qui déforme délibérément les comportements normaux des habitants démunis du sud du Xinjiang qui vont à l'est du pays pour trouver des emplois et avoir de meilleurs revenus comme du « travail forcé », cherche, sous prétexte des droits de l'homme, à priver les habitants démunis du Xinjiang de leur droit à l'emploi et à une meilleure vie. Quelle perfidie.

Nous voudrions demander à ces journalistes qui se complaisent à faire des reportages sur le Xinjiang et aux soi-disant chercheurs spécialistes des questions liées au Xinjiang : Êtes-vous déjà allés au Xinjiang ? Comprenez-vous vraiment le Xinjiang ? Sans même avoir été au Xinjiang, tromper le public avec de fausses allégations par ouï-dire, ce qui est vraiment irresponsable envers les lecteurs.

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