Q : Le 13 avril, la ministre belge des affaires étrangères a répondu à la question orale sur la question de Taiwan dans la Chambre des représentants de Belgique. Quel est votre commentaire à ce sujet ?

     R : Nous avons pris note de la réponse de la ministre belge des affaires étrangères et nous y exprimons notre préoccupation. La question de Taiwan concerne la souveraineté et l’intégrité territoriale de la Chine et relève purement des affaires intérieures de la Chine. Taiwan fait partie de la Chine. C’est le droit sacré de tout État souverain de sauvegarder sa souveraineté nationale et son intégrité territoriale. Sur les questions liées à la souveraineté nationale, il ne doit pas y pratiquer le « deux poids, deux mesures ». Actuellement, la plus grande menace pour la paix entre les deux rives du détroit de Taiwan est posée par les forces sécessionnistes visant l’« indépendance de Taiwan » et par la connivence et le soutien étrangers à leurs activités. Les exercices encerclant l’île de Taïwan par la partie chinoise sont un avertissement sévère aux activités provocatrices des forces sécessionnistes visant l’« indépendance de Taïwan » et à leur collusion avec des forces extérieures, ainsi qu’une mesure nécessaire pour préserver la souveraineté nationale et l’intégrité territoriale.

     Le principe d’une seule Chine est le consensus universel de la communauté internationale et le fondement politique des relations entre la Chine et la Belgique. Sur la base du principe d’une seule Chine, la Chine et la Belgique approfondissent sans cesse leur partenariat global d’amitié et de coopération, ce qui est dans l’intérêt commun des deux pays. La partie chinoise entend travailler ensemble avec la partie belge pour promouvoir un développement sain et stable des relations sino-belges, apportant plus de bénéfices à nos deux pays et à nos deux peuples.